Depuis que j’ai inscrit mon fils Wylliam au programme, plein d’occasions se sont offertes àlui. Il a pu suivre des cours de musique et des cours d’informatique qu’il adore par-dessus tout. Sa confiance en lui s’est grandement améliorée. Le programme nous a rapprochés et nous a aidés à mieux nous comprendre.
J’ai partagé mon histoire avec des collègues de travail et j’ai pu en aider quelques-uns qui vivent une situation semblable a la mienne. Je suis heureuse de voir que eux aussi constatent des progres chez leurs enfants.
Le programme a changé nos vies pour le mieux.
Je vois des améliorations au quotidien et c’est merveilleux. Merci de votre aide et de votre soutien.
Je tiens aussi à remercier les conseilleres et conseillers pour leur bon travail. Ils nous aident vraiment beaucoup.
K.F., PO4
Saint-Eustache (Québec)
La coordonnatrice du Québec fait la promotion des programmes Besoins spéciaux et Aller de l’avant
Mélanie Bélisle, coordonnatrice francophone, a effectué une tournée de deux ans, soit de février 2016 a mars 2018, pour communiquer avec les membres, les informer et faire la promotion des programmes Besoins spéciaux et Aller de l’avant dans les régions du Québec et de Montréal. En tout, elle a rencontré quelque 4,300 membres.
Mélanie a communiqué avec la présidente ou le président de chaque section locale afin de discuter de la meilleure facon de promouvoir les programmes aupres des membres. C’est un exposé de quatre minutes présenté avant que les travailleuses et travailleurs ne commencent leur journée qui s’est avéré l’activité la plus utile.
Par suite des efforts déployés par Mélanie, un nombre record d’enfants et de jeunes adultes ont été inscrits aux programmes Besoins spéciaux et Aller de l’avant.
Une tournee de promotion de nos programmes
Shellie Bird, coordonnatrice de la garde d’enfants du STTP, et Gail Holdner, coordonnatrice du programme Besoins spéciaux, seront en tournée pour rencontrer les membres et promouvoir le Fonds de garde d’enfants du STTP et les programmes Besoins spéciaux et Aller de l’avant. Notre message aux membres est clair : En collaborant, nous pouvons améliorer la vie des travailleurs et travailleuses des postes, tant sur le plan professionnel que sur le plan personnel.
Le volet Ouest de la tournée a commencé à Vancouver au début de mai. Les volets Centre et Est auront lieu au début de l’automne.
Nous voici à l’installation de Coquitlam en compagnie de membres et de la présidente de la section locale de Royal City, Brooke Mousseau (à droite).
Les négociations avec Postes Canada
Un mot de George Floresco, 3e vice-président national
Encore une fois, les négociations en cours portent sur des enjeux importants. Il y a bien sur l’expansion des services, qui va de pair avec la sécurité d’emploi. Il y aussi la question des salaires et des avantages sociaux, qui est un enjeu de justice et d’équité, et ce, peu importe l’emploi que nous occupons à Postes Canada.
Avec l’aide d’un médiateur du Service fédéral de médiation et de conciliation, le STTP et Postes Canada discutent de leurs positions sur ces questions.
Nous savons d’expérience que Postes Canada mesure l’appui que le STTP obtient pour ses revendications en fonction du soutien que les membres témoignent au travail.
Bon nombre de sections locales ont commencé à se préparer en vue d’un éventuel arret de travail. Toutefois, avant d’en arriver là, il y a plein de façons de démontrer à l’employeur que nous tenons à de meilleures conditions de travail et à l’expansion des services. Porter le macaron qui demande l’équité au travail est un exemple. Il faut montrer à l’employeur que nous sommes sérieux, et que la justice et l’égalité sont des principes syndicaux pour lesquels nous sommes prêts à nous battre.
Le service de l’éducation du STTP a mis à jour son cours intitulé « Mobilisation, préparation et action ». N’hésitez pas à vous y inscrire si vous le pouvez. Participez aussi à nos campagnes portant sur le rétablissement de la livraison à domicile et la création de nouveaux services, comme les services bancaires postaux. Ces campagnes nous ont permis de nous faire de nombreux alliés communautaires et de mobiliser un grand nombre de militantes et militants du STTP. Il n’est pas trop tard pour vous joindre à eux!
Avec nos alliés, notamment les Amis des services publics, nous continuons de porter nos messages dans l’ensemble du pays. En participant aux campagnes, les travailleurs et travailleuses des postes disent à Postes Canada qu’elle doit négocier avec sérieux la justice, l’égalité, de bons salaires et de nouveaux services qui assureront son avenir et le nôtre.
Jayden, mon fils...
bénéficie du soutien du STTP depuis qu’il est bébé. Mon mari et moi avons d’abord reçu une subvention provenant du Fonds de garde d’enfants, qui a été établi pour les parents de bambins et de jeunes enfants ayant besoin d’arrangements souples.
Ce soutien nous a beaucoup aidés. Nous n’aurions pas pu obtenir de services de garde à l’heure ou j’en ai besoin, soit entre 5 h 45 et 6 h, de manière à ce que je puisse arriver au travail entre 6 h et 6 h 30.
Plus tard, nous avons été admissibles au programme Besoins spéciaux, en raison des importants soins que nécessitait notre bambin. Jayden avait souvent besoin d’un soutien individuel. Vers la fin de la deuxième année, des médicaments lui ont été prescrits. Il a suivi des traitements de désintoxication pendant des années, à l’aide de médicaments et de produits Isagenix, qui ont été très utiles.
À l’école élémentaire, du tutorat était inclus dans les leçons quotidiennes. À l’école secondaire, Jayden a éprouvé des difficultés, mais il a réussi. Maintenant qu’il est à l’université, il doit déployer encore plus d’efforts. J’ai utilisé les fonds obtenus du programme Aller de l’avant pour lui payer du tutorat, mais il a malgré tout beaucoup de difficulté. Comme il n’est capable de suivre que deux à quatre cours par année, il lui faudra quelques années supplémentaires pour obtenir son diplôme.
Je suis tellement fière que mon fils n’ait pas abandonné et qu’il ait atteint des objectifs que toute personne se fixe dans la vie. Je crois que, s’il réalise son rêve de devenir pasteur, il deviendra une personne autonome et pourra prendre soin d’une famille. D’une mère sincèrement reconnaissante qui adore son fils.
Factrice
London (Ontario)
Mon fils avait deux ans lorsque je me suis rendu compte qu’il avait plusieurs « tics » aux yeux et à la main. À l’âge de 6 ans, Sean-William a reçu le diagnostic du syndrome de Gilles de la Tourette. Comme il a commencé alors à vocaliser aux cinq secondes et à manifester des tics, son pédiatre, le
Dr Clément, l’a envoyé à l’hôpital pour enfants de l’est ontarien (CHEO) rencontrer un neurologue, où ils ont établi un diagnostic de la Tourette au degré élevé. Ce syndrome se manifeste normalement par des vocalisations ou des tics, mais mon fils présentaient ces deux symptômes. Il a ensuite été diagnostiqué de dyspraxie, ainsi que d’un T.O.C. et d’un T.D.A.H. À ce moment-là, je ne réussissais pas à joindre les deux bouts. Depuis sa naissance, je me débrouille seule avec lui, et je travaille à temps partiel 20 heures par semaine. Il lui faut maintenant une technicienne ou un technicien en éducation spécialisée pour l’aider à la maison, soit quelqu’un qu’il connaît et qui peut développer des liens avec lui, car en raison de son T.O.C., il ne laisse entrer personne dans son monde.
Contrairement à d’autres qui ont essayé de le faire par le passé, Mme Paquin, une éducatrice spécialisée, est la première à réussir à établir un lien avec lui depuis le début de sa scolarité, il y a quatre ans. À la demande de la Dre Alalami, la psychiatre de mon fils, Mme Paquin a accepté de suivre mon fils jusqu’à la 6e année, avec l’approbation de la directrice. Malheureusement, parce que Mme Paquin a d’autres élèves à sa charge, elle ne peut passer que deux heures et demie avec lui, ce qui n’est pas suffisant. Elle peut venir deux fois par semaine à raison d’une heure et demie chaque visite, soit trois heures par semaine ou 12 heures par mois, y compris pendant l’été. Nous ne voulons pas que mon fils perde tous les progrès qu’il a accomplis et qu’il ait à tout recommencer au mois de septembre.
PO-4
Gatineau (Québec)
Partenariat Planification fournit sans frais des ressources destinées à aider votre jeune ayant des limitations fonctionnelles à trouver, au moment où il passe de l’école à la vie adulte, des possibilités d’intégration qui lui permettront de mener une vie satisfaisante. Bon nombre de ces ressources correspondent parfaitement aux mesures que soutient le programme Aller de l’avant.
Au cours des dernières décennies, dans toutes les provinces, la plupart des jeunes adultes ayant une déficience intellectuelle n’avaient d’autres choix que d’opter pour un milieu de vie protégé (foyers de groupe, établissements ou ateliers d’assistance au travail). Ayant peu d’options, mais plein de bonnes intentions, bon nombre de parents considéraient qu’il s’agissait de milieux sûrs et tout à fait indiqués. Nous savons aujourd’hui que beaucoup (sinon la plupart) de ces milieux étaient moins qu’idéaux et même nuisibles.
Les points de vue sur les limitations fonctionnelles ont beaucoup changé et continuent d’évoluer. Selon la Loi canadienne sur les droits de la personne, les personnes ayant des incapacités doivent avoir un accès équitable à l’éducation et à l’emploi et être en mesure de participer à la société autant que possible.
La pleine intégration est une victoire durement acquise. Parallèlement, les parents savent combien il est important que leur enfant ayant des limitations fonctionnelles puisse évoluer en toute sûreté lorsqu’il devient adulte.
CONCEVOIR, PLANIFIER, AGIR
L’organisme Partenariat Planification offre un large éventail de ressources gratuites aux familles et aux conseillères et conseillers en besoins spéciaux cherchant le meilleur moyen d’aider le jeune qui doit se tourner vers les services et les programmes destinés aux adultes.
Les parents sont encouragés à passer du temps avec leur enfant à explorer ses rêves, ses objectifs et ses talents. Certaines familles utilisent l’aide financière du programme pour effectuer cet exercice avec le concours d’une ou d’un spécialiste ou d’une ou d’un mentor. Une fois que l’enfant a déterminé ses passions et ses compétences, il ou elle est mieux en mesure de trouver ou de créer des possibilités d’intégration dans un milieu précis.
Le fait de s’adonner à des activités satisfaisantes à la fin des études secondaires favorise les occasions de se faire de nouveaux amis et d’établir de véritables rapports dans le milieu de vie de tous les jours. Ces rencontres peuvent influencer l’avenir de manière positive.
Pour la première fois dans l’histoire, les jeunes ayant des limitations fonctionnelles survivront à leurs parents. Les familles doivent être résilientes et faire preuve de créativité dans l’utilisation du soutien financier individualisé. Aider une personne ayant des limitations fonctionnelles à se créer une vie satisfaisante exige des efforts et de bonnes intentions, mais, en bout de ligne, tout le monde y gagne. Nous avons tous besoin de cultiver de vraies relations, de poursuivre nos rêves et nos objectifs et de participer à la vie communautaire, et nous méritons tous d’y parvenir.
La majeure partie du site Web de Partenariat Planification est disponible en français, dont les onglets sur les appuis fédéraux, le Régime enregistré d’épargne invalidité et le crédit d’impôt pour personnes handicapées. Établi en Ontario, l’organisme offre des ressources gratuites s’adressant à tous ceux et celles qui s’intéressent aux personnes ayant des limitations fonctionnelles.
UN SITE WEB BIEN REMPLI
Le site planningnetwork.ca/fr-ca offre des diffusions sur le Web et un large éventail de ressources, entre autres sur les sujets suivants :
• Services de soutien fédéraux et provinciaux
• Éducation et travail
• Relations interpersonnelles et vie communautaire • Options de résidence pour une vie autonome
• Fiches de conseils sur les étapes de vie
• Courtes vidéos sur des témoignages de la vie réelle • Planification juridique et financière
• Réseaux familiaux
Partenariat Planification fournit gratuitement aux familles des outils de planification pour aider un proche ayant une incapacité à avoir la meilleure vie possible. Visitez le site Web de l’organisme à planningnetwork.ca/fr-ca.
Partenariat Planification est un organisme à but non lucratif établi en Ontario.
Susan croit fermement que les personnes ayant des limitations fonctionnelles doivent avoir la chance de « faire des choses de la vie de tous les jours, dans des endroits ordinaires, avec des gens ordinaires ». Susan est conseillère en Besoins spéciaux du programme Aller de l’avant et cofondatrice de Partenariat Planification.
J’apprécie vraiment l’aide financière que je reçois du programme pour mon petit-fils, dont nous avons la garde depuis qu’il a six mois. Lorsqu’il avait presque trois ans, nous avons appris qu’il se situait à l’extrémité supérieure du spectre autistique.
Grâce à l’aide financière, j’ai pu acheter à mon petit-fils une couverture lestée, qui a amélioré considérablement son sommeil. Nous touchons un salaire équitable. Cependant, étant donné les dépenses additionnelles que représente l’éducation d’un enfant ayant des besoins spéciaux, les fonds du programme nous aident à lui faire vivre une vie plus normale.
Merci de votre soutien.
PO4
Stoney Mountain (Manitoba)
Nous avons deux fils :
Logan et Brandon. À l’évaluation de Brandon effectuée lorsqu’il avait 4 ans, nous avons appris qu’il était atteint de déficience intellectuelle et cognitive : apraxie; retard de l’apprentissage et du langage.
Brandon est en 9e année, soit la dernière année de l’école intermédiaire. À l’école, il bénéficie de ressources et des services d’auxiliaires d’enseignement.
De plus, il acquiert des aptitudes à la vie quotidienne, il livre des messages et des journaux au personnel enseignant, il participe au remplissage des distributrices, il s’occupe des sacs de matières à recycler, il nettoie la cafétéria et, à la fin de la journée, il place les cônes de signalisation pour les autobus. Le vendredi matin, avec les autres enfants recevant des services d’auxiliaires d’enseignement, il fait de la natation. Ces enfants sont tous de bons amis.
Brandon n’a pas connu un parcours sans larmes ni frustration, mais, à force de travail et de détermination, il a réussi à faire en sorte que tout fonctionne pour lui.
Brandon participe aux Olympiques spéciaux. En hiver, il joue aux quilles et au hockey en salle; en été, au soccer et au baseball. Il participera, avec l’équipe de baseball, aux Jeux d’été d’Olympiques spéciaux Canada, qui auront lieu à Antigonish (Nouvelle-Écosse) du 31 juillet au 5 août 2018. Brandon joue aussi aux quilles le samedi matin.
Nous sommes tellement fiers de Brandon et de ce qu’il a accompli. Les choses n’ont pas été faciles pour lui. Nous le félicitons et l’encourageons à poursuivre son excellent travail.
Membre FFRS
Milton Station (Île-du-Prince-Édouard)
Donner son plein rendement
Jessica, conseillère en besoins spéciaux du Québec
« C’est comme s’ils faisaient partie de ma famille. Même s’ils n’ont pas suffisamment de temps, de ressources ou de services, les parents auxquels je parle essaient toujours de trouver ce qu’il y a de mieux pour leurs enfants. Je salue tout ce qu’ils font pour eux. »
Jessica a commencé à travailler pour le programmeBesoins spéciaux en 2014. Elle fournit des conseils aux parents de la grande région du Québec qui couvre la Rive- Sud (où elle vit) jusqu’à Montréal, la Rive-Nord jusqu’aux Laurentides et s’étend à l’est jusqu’à Sherbrooke. Jessica dit trouver très satisfaisant le travail qu’elle effectue pour le programme : « Si je pouvais, je le ferais à plein temps! »
Mais Jessica occupe déjà un emploi à plein temps qu’elle adore : elle est enseignante et tuteure auprès d’enfants ayant des besoins spéciaux (et elle offre en plus des services de tutorat privés – en effet, elle est très occupée!). Ses 18 années d’expérience en éducation spécialisée lui sont utiles lorsque les parents qu’elle conseille dans le cadre du programmeBesoins spéciaux sont à court d’idées. « Parfois, un simple horaire visuel ou un léger changement à la routine matinale peuvent faire toute une différence. » De plus, grâce à son travail, Jessica a accès à des collègues du domaine de l’enseignement, qui peuvent lui indiquer des ressources dans la vaste région du Québec qui lui est attribuée. Il lui suffit d’afficher un message sur Facebook pour obtenir leur aide.
En parlant à Jessica, on se rend compte que c’est quelqu’un qui va au-delà des attentes pour aider les gens auxquels elle offre des services. Comment y arrive-t-elle avec un horaire aussi chargé? Eh bien, en étant très organisée et efficace, et en trouvant des façons simples de répondre aux besoins tout en obtenant les meilleurs résultats possibles. Par exemple, elle utilise un outil en ligne (Doodle) pour établir le calendrier des appels aux parents qu’elle conseille : « De cette façon, ils savent quand je vais les appeler et ne risquent pas d’être interrompus au beau milieu d’une activité. »
Jessica estime que ces efforts en valent la peine : « Pour faire ce travail, je dois sentir que j’y mets toute mon humanité. Pour vraiment aider les parents, je dois les connaître. Ils doivent sentir qu’ils peuvent me parler librement. Lorsqu’ils me disent : ‘Je ne sais pas si j’aurais pensé à faire ça sans vous’, je sais que j’ai changé les choses simplement en faisant mon travail. C’est précieux. »
Jessica vit avec Anne-Florence, sa fille de onze ans, qui adore les sports et réussit très bien à l’école, et avec un petit chat appelé Cassis. La lecture, les soupers entre amis, les activités familiales, la natation, le ski nautique, et les spectacles et festivals estivaux occupent ses temps libres.
Notre histoire...
a commencé en 2009, avec les nombreux diagnostics de notre fille. Même si nous savions depuis beaucoup plus longtemps qu’elle était différente des autres enfants, nous pouvions enfin mettre des mots sur les maux de notre enfant. Nous savions alors que notre vie ne serait jamais comme celle des familles qui nous entourent.
Notre belle ado a aujourd’hui 14 ans. Chaque jour, elle affronte le quotidien avec sa petite valise de diagnostics. L’autisme, la dyspraxie sévère et le trouble de langage, entre autres, compliquent sa vie sociale et scolaire. Par chance, elle est persévérante, ce qui lui a permis de faire mentir les pronostics. Grâce à énormément d’efforts et de travail, Arianne a réussi à apprendre à lire et à écrire. Elle fréquente une école spécialisée en troubles du spectre de l’autisme et continue de faire des apprentissages, à son rythme.
Arianne a la chance de partager son quotidien avec son amie à 4 pattes, son chien Chara, un chien d’assistance de la Fondation Mira qui l’aide autant dans ses relations sociales qu’au niveau de l’anxiété. Avant d’avoir son chien, Arianne ne dormait pas bien la nuit et se réveillait plusieurs fois. Cette situation nous exténuait, car nous devions tout de même accomplir nos journées de travail. Les visites chez le dentiste et chez le médecin étaient difficiles, voire impossibles. L’arrivée de Chara a changé notre vie pour le mieux, et nous pouvons « presque » mener notre vie sociale normalement.
Facteur
Repentigny (Québec)
Jacob est atteint d’autisme sévère.
Il parle très peu. Il bénéficie du programme Besoins spéciaux depuis plusieurs années.
Grâce au programme, Jacob a pu fréquenter le camp d’été Rotary. Il a également suivi des leçons de piano et participé à des concerts improvisés.
Depuis le 11 novembre, Jacob consulte une orthophoniste. Il fait des progrès chaque semaine grâce à la patience incroyable de cette femme.
Je serai éternellement reconnaissante pour le soutien moral et financier reçu du programme. Merci!
SRS
Hanwell (Nouveau-Brunswick)
Mise à jour sur le portail STTP-211
L’équipe responsable du portail STTP-211 sur les services de soutien aux personnes ayant des limitations fonctionnelles s’est attelée à la tâche.
Le portail STTP-211 permettra de chercher de l’information sur tous les programmes et services de soutien qui font partie de la base de données 211. Nous collaborons avec le service 211 de l’Ontario et celui de la Nouvelle-Écosse à la réalisation de la première phase du projet dans ces provinces.
La recherche d’information sur le portail STTP-211 pourra se faire de plusieurs façons, notamment par catégorie de services de soutien.
Nous avons établi une liste de catégories sous lesquelles seront regroupés les programmes et services de soutien de la base de données 211. Pour ce faire, nous avons utilisé la liste initiale de catégories des programmes Besoins spéciaux et Aller de l’avant, à laquelle nous avons ajouté des éléments après avoir pris connaissance des divers programmes et services faisant partie de la base de donnée 211.
Ensuite, nous avons demandé à des membres et à des conseillères et conseillers de l’Ontario, du Québec et de la Nouvelle-Écosse de commenter cette liste. Sept parents et six conseillères et conseillers des programmes Besoins spéciaux et Aller de l’avant ont offert de nous aider.
Nous leur avons montré la nouvelle liste de catégories et demandé de répondre aux questions suivantes : Ces catégories vous aideront-elles à trouver des services de soutien pour votre enfant? Qu’est ce qui manque? Est-ce que certains titres de catégories sont ambigus? Avez-vous d’autres suggestions de catégories de recherche? Nous nous servirons de leurs commentaires pour dresser la liste finale des catégories du portail.
Prochaine étape : Lorsque nous aurons dressé la liste finale des catégories, le service 211 établira une correspondance entre les programmes et services de soutien de la base de données et les diverses catégories. Nous concevrons une page de recherche et demanderons aux parents et aux conseillères et conseillers qui ont formulé des commentaires de mettre cette page à l’essai. Nous leur poserons les questions suivantes : « Que pensez-vous de l’outil de recherche? Avez-vous trouvé les services que vous vous attendiez de trouver dans les diverses catégories? »
Restez au courant! Nous comptons sur votre aide pour établir le portail STTP-211 sur les services de soutien aux personnes ayant des limitations fonctionnelles. Nous tenons à remercier de leur soutien les membres et les conseillères et conseillers qui ont formulé des commentaires.