Repousser les obstacles pour les travailleurs qui ont des enfants ayant des besoins spéciaux.

 
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Je tenais à remercier par écrit le programme Besoins spéciaux pour toute l’aide qu’il nous a fournie, à mes enfants et à moi, au fil des années. Ma fille apprend de manière visuelle. L’école primaire et l’école secondaire ne lui ont pas été d’un grand secours à cet égard. Elle étudie à présent en arts, au collège. Elle conçoit des jeux vidéo en trois dimensions. Le soutien qu’elle a reçu du programme l’a beaucoup aidée. Mon fils est dyslexique, et il éprouve de la difficulté à lire et à écrire. Grâce à l’aide financière du programme, j’ai pu lui payer des services de tutorat et des cours d’informatique, et il a réalisé d’immenses progrès. L’école qu’il fréquente offre à présent un cours d’aviation où les élèves apprennent à piloter et à réparer un avion. Mon fils a vraiment hâte de commencer ce cours au prochain trimestre. Il apprend de manière kinesthésique, et ce cours lui sera utile pour l’avenir. 

Les enfants n’apprennent pas tous de la même façon, et le système d’éducation devrait les aider davantage en fonction de leur style d’apprentissage. C’est une bonne chose que les parents et les intervenants aident les enfants à apprendre de la manière qui leur convient le mieux. Je prends ma retraite au début de l’année prochaine, et je tenais à vous remercier tous et toutes!   

CSP
London (Ontario)

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À la naissance, Jacob a reçu un diagnostic de syndrome de Noonan (œdème cérébral, anomalies cardiaques, déficiences musculaires). Le médecin nous a informés que Jacob ne pourrait jamais marcher ni parler, et qu’il mourrait à un jeune âge (avant l’adolescence). Jacob a dépassé toutes ces prévisions. Le 20 mai 2018, il a eu 21 ans. À l’heure actuelle, il étudie au collège Eastern d’Halifax, en Nouvelle-Écosse, pour devenir parajuriste. Il rêve de s’installer dans le Nord du Canada pour aider les populations autochtones en matière de droit.

D’ici là, Jacob continue de nous épater par ses aptitudes sociales, son sens de l’humour, sa sagesse, et encore plus par sa solide foi en Dieu. Les spécialistes se sont trompés, Dieu merci!  

FFRS
Halifax (Nouvelle-Écosse)

Sur la route

Coquitlam Depot May 14, 2018.

Gail Holdner, coordonnatrice du programme Besoins spéciaux, et Shellie Bird, coordonnatrice des programmes de garde d’enfants du STTP, ont parcouru une partie du pays pour faire connaître les programmes Besoins spéciaux et Aller de l’avant.  

Trop de membres du STTP ignorent tout du Fonds de garde d’enfants et des programmes Besoins spéciaux et Aller de l’avant. Il faut que la situation change! 

La tournée s’est inspirée de celle effectuée en 2017 par Mélanie Bélisle, coordonnatrice pour le Québec. Mélanie a rencontré plus de 4 000 membres des régions du Montréal métropolitain et du Québec. Elle s’est rendue dans les lieux de travail pour parler directement aux membres. 

La tournée du Québec a servi de modèle à celle de mai 2018 dans les régions du Pacifique et des Prairies. Gail et Shellie ont rencontré en personne plus de 2 000 membres sur une période de six semaines. Elles ont repris la route au début de l’automne, et elles se sont arrêtées dans les sections locales de Toronto et de Scarborough, où elles se sont entretenues avec près de 3 000 membres. Jusqu’ici, les coordonnatrices de la garde d’enfants ont rencontré 9 000 travailleurs et travailleuses des postes pour leur parler directement du Fonds de garde d’enfants et de ses programmes. 

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Au lieu d’obliger les membres à venir les rencontrer, Gail et Shellie se sont fait un devoir d’aller à leur rencontre dans les lieux de travail : établissements de traitement du courrier, postes de factrices et facteurs, installations postales et points de vente au détail. Elles ont eu droit à toute une gamme d’émotions, depuis des membres très heureux d’en apprendre davantage sur les programmes jusqu’à d’autres fâchés de ne pas en avoir été informés plus tôt. De nombreux membres ayant utilisé les programmes sont venus dire à Gail ce que les programmes leur avaient apportés, à eux et à leur famille. D’autres ont pris la parole pour expliquer ce que leur participation aux programmes signifiait pour eux. Enfin, des membres ont fait des suggestions sur les meilleures façons de promouvoir le Fonds et ses programmes. 

Les coordonnatrices ont mis fin à leur tournée quand il est devenu évident que les négociations exigeaient toute l’attention des membres en faveur de moyens de pression (grèves tournantes et autres actions en milieu de travail) pour obliger l’employeur à conclure des conventions collectives équitables. Dès que les négociations seront terminées et que la poussière sera retombée, elles reprendront la route vers d’autres régions du pays. 

Restez au courant!

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BRANCHÉE SUR SA COLLECTIVITÉ

« Au cours des dernières années, j’ai travaillé partout au pays, et je n’ai vu aucun autre organisme offrir pareil programme aux travailleurs et travailleuses. » 

– Catherine Rodgers conseillère des programmes Besoins spéciaux et Aller de l’avant pour Terre-Neuve-et-Labrador   

Catherine Rodgers.

Catherine Rodgers.

Lorsque nous joignons Catherine à St. John’s un jeudi matin, le Canada atlantique connaît « la pire tempête au monde » selon Météo Média. Heureusement, Catherine travaille à distance. Elle occupe un emploi à plein temps au sein de Personnes d’abord du Canada, organisme établi à Winnipeg, qui représente les personnes ayant une déficience intellectuelle. 

Depuis 2015, Catherine est aussi la conseillère des programmes Besoins spéciaux et Aller de l’avant pour Terre-Neuve-et-Labrador. Ce rôle l’aide à établir des liens entre son travail et les gens de son milieu. « Je travaille à l’échelle nationale depuis de nombreuses années. Je voulais mieux comprendre ce que vivent les gens ici, en savoir davantage sur les programmes, les options et les mesures de soutien qui existent dans ma province. » 

Lorsqu’on lui demande comment les choses ont évolué depuis plus de 30 ans, Catherine répond qu’il y a eu beaucoup de mouvement, mais que, dans les faits, on a souvent avancé de deux pas et reculé d’un pas. « Quand j’ai commencé, les enfants ayant une incapacité — surtout ceux qui avaient une déficience intellectuelle — n’étaient même pas inclus dans le système scolaire. La situation a changé. Ces enfants ont été intégrés. De même, il était rare à l’époque qu’une personne ayant une déficience intellectuelle ou des besoins spéciaux occupe un emploi. Je crois que la Loi sur l’accessibilité au Canada a permis des avancées considérables à ce chapitre. »

Catherine constate également des progrès chez les membres qu’elle conseille : « Je parle aux familles trois fois par année. Parfois, au cours d’un appel, je note qu’un parent essaie d’aider son enfant à accomplir une tâche, comme trouver un emploi ou rédiger un curriculum vitae, puis, lors de l’appel suivant, je découvre que de grands pas ont été franchis. Certaines personnes sont très isolées. Donc, quand j’apprends qu’un enfant s’est fait un ami ou que les choses vont bien sur le plan social, j’en suis très heureuse. » 

L’isolement touche de nombreuses familles qui ont un enfant ayant des limitations fonctionnelles. Le problème peut être particulièrement criant dans les collectivités éloignées de Terre-Neuve-et-Labrador. « C’est frustrant, dit Catherine. Si la famille vit dans une municipalité de 500 personnes où il n’y a pas de programmes, elle peut avoir à faire trois heures et demie de route pour obtenir des services ou attendre la venue tous les six mois d’un orthophoniste. Cette famille ne reçoit pas beaucoup d’aide. »

Mais les membres ont trouvé des solutions, dont bon nombre sont en ligne. « Une mère a découvert sur Facebook un groupe de parents qui, comme elle, sont isolés et cherchent du soutien pour leurs enfants. Elle trouve très utile d’avoir quelqu’un à qui parler. Et elle a pu obtenir une consultation vidéo avec un professionnel qui habite à une heure de route environ de chez elle. »

Lorsqu’elle n’est pas occupée à travailler ou à faire du bénévolat, Catherine aime se trouver derrière un appareil photo. « J’aime prendre des photos. Je suis la photographe de la famille, plaisante-t-elle. Deux de mes sujets préférés sont la lune et les corbeaux. On me surnomme la “dame aux corbeaux”! »

Création du portail STTP-211 sur les services de soutien aux personnes ayant des limitations fonctionnelles

Merci de votre aide!

Depuis la dernière mise à jour, l’équipe responsable du portail STTP-211 sur les services de soutien aux personnes ayant des limitations fonctionnelles a terminé la définition des catégories, et ce, grâce à votre aide. 

Ce travail a consisté à établir des catégories de programmes et services, et des catégories de diagnostics. Nous avons associé ces catégories aux termes utilisés pour organiser les programmes et services dans les bases de données du service 211 de l’Ontario et de celui de la Nouvelle-Écosse.  Les catégories établies aideront les membres à chercher de l’information sur le portail STTP-211.

Les membres et les conseillères et conseillers de l’Ontario, du Québec et de la Nouvelle-Écosse ont formulé des commentaires pour nous aider à déterminer les éléments des diverses catégories, ainsi que le nom et la description de ces catégories. Vos suggestions et vos idées pour les catégories de programmes et services et les catégories de diagnostics nous sont très utiles, et nous vous en remercions.

Maintenant qu’une correspondance a été établie entre les termes des services 211 et les catégories du STTP, notre équipe va s’employer à mettre au point le côté client et le côté serveur du portail. Dans le cas du côté serveur, il s’agit d’extraire les programmes et services 211 pour les inclure dans les catégories du STTP en fonction des emplacements.  

Le côté client du portail se compose de l’écran de recherche qui apparaîtra sur votre téléphone, votre appareil mobile ou votre ordinateur. C’est là que vous chercherez l’information sur les services dont vous avez besoin pour votre enfant et votre famille. 

Nous allons demander aux membres et aux conseillères et conseillers de formuler des commentaires sur la page de recherche en répondant aux questions suivantes : Que pensez-vous de la page de recherche? Est-elle facile à utiliser? Vous permet-elle de trouver l’information requise?  

Nous avons demandé au Canadian Centre on Disability Studies de participer à d’autres essais de la page de recherche et de nous indiquer ce que les membres pensent de l’utilisation du portail. Les membres de l’Ontario et de la Nouvelle-Écosse se verront offrir des occasions de formuler des commentaires sur le fonctionnement du portail.


En juillet dernier, mon fils Graeme, âgé de 16 ans, a participé pendant deux semaines au programme estival de l’institut de musique de l’université de Colombie-Britannique. Il s’agissait de sa cinquième participation à ce programme. C’était aussi la première année où il pouvait, durant la deuxième semaine, agir à titre de conseiller auprès des jeunes musiciens. Autiste hautement fonctionnel, Graeme éprouve parfois de la difficulté à généraliser l’information ou les expériences qu’il vit. Pendant la première semaine, il a habité à la résidence Place Vanier de l’université. Il a ainsi pu comprendre ce que les jeunes élèves vivaient, ce qui l’a aidé dans son rôle de conseiller durant la deuxième semaine. Il a ADORÉ habiter à la résidence universitaire, où il a passé une semaine extraordinaire à fréquenter les membres de l’orchestre de jazz. Durant la deuxième semaine, qui a aussi été extraordinaire, il a eu l’occasion de faire preuve de leadership dans son rôle de conseiller. Par ailleurs, il a participé à la préparation des repas, où il devait couper « beaucoup de légumes »! Tout le monde devait mettre la main à la pâte! 

Je remercie infiniment le programme Besoins spéciaux de soutenir l’intérêt et le talent de mon fils pour la musique. Grâce à la musique, Graeme s’est construit un cercle d’amitiés et de mentorats, où il est accepté et où son apport à son milieu et à son école est rendu possible. De plus, le programme l’a encouragé à cultiver son amour de la musique, qui lui permet de s’exprimer autrement et d’entrer en contact avec les autres

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Vancouver (Colombie-Britannique)  

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Mon garçon a fait une tentative de suicide à l’âge de 16 ans. Il s’est pendu dans le garage. Son père l’a trouvé, mais il avait manqué d’air trop longtemps. Il a été 3 semaines dans le coma, 2 mois au CHUL, à Québec, et 4 mois en réadaptation à Jonquière. Jimmy a dû réapprendre comme un enfant à s’asseoir, à parler, à marcher, à manger et à se laver.

La situation a été difficile pour tout mon entourage, mais surtout pour moi. J’ai dû faire le deuil de mon fils et accepter sa nouvelle condition.  Jimmy est devenu aveugle avec une mémoire courte. Au début, elle était aux 5 minutes. Il me demandait la date, l’heure, la journée. Ouf, pas facile. Il est demeuré avec moi pendant 5 ans.

Maintenant, il demeure seul dans son appartement. Il a droit à l’aide d’un fournisseur multi-services 5 jours par semaine, 2 heures par jour. Ils lui préparent des repas, font un peu de ménage et de lavage. Jimmy est très heureux. Mais moi, ça va toujours être difficile de le voir comme ça.

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Dolbeau-Mistassini (Québec)


MacKenzie a des difficultés depuis toujours en raison de sa différence. Mon mari et moi étions de ces parents convaincus qu’il valait mieux ne pas toucher aux médicaments, qu’il s’agissait d’une simple phase et que tout s’arrangerait. Cependant, à l’âge de 11 ans, Mackenzie est devenue tellement difficile que nous n’arrivions plus à gérer la situation. En raison de ses crises et de son comportement impulsif, personne ne pouvait la surveiller. Elle était tellement agitée qu’elle n’arrivait pas à se concentrer sur une tâche aussi simple que le brossage des dents. Mackenzie a fini par devenir violente, s’en prenant aux autres membres de la famille, surtout sa sœur. Il fallait faire quelque chose.    

Le pédiatre nous a dit qu’il s’agissait d’un trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH), et nous a recommandé de consulter un psychiatre. Nous en avons consulté un, mais celui-ci ne savait pas quoi penser du cas de Mackenzie. Les problèmes de santé mentale sont apparus, et un psychologue nous a dit qu’il serait préférable de l’hospitaliser. Après de nombreux séjours à l’hôpital régional, et deux étés à l’hôpital pour enfants de l’Alberta, son diagnostic change constamment (TDAH, trouble oppositionnel avec provocation, trouble obsessionnel-compulsif, dépression et anxiété). Sa médication est modifiée. Mackenzie change, et la famille vit des difficultés. Malgré tout, les choses s’améliorent. Nous essayons d’utiliser le mieux possible le soutien mis à notre disposition. Je remercie le programme Besoins spéciaux pour l’aide additionnelle qu’il nous apporte.

factrice
Lethbridge (Alberta)


J’aimerais partager mon histoire avec les autres parents qui vivent des moments de défis avec leurs enfants et leur dire qu’ils ne sont pas seuls.

Mon fils Omar (10 ans) est atteint d’épilepsie et de TDAA avec hyperactivité depuis l’âge de 7 ans. Ensemble, on a fait une longue démarche pour préciser le diagnostic. Avec beaucoup de patience, amour, détermination, courage et persévérance, on avance tranquillement à son rythme.

Avec tous les hauts et les bas et grâce à l’aide que le programme nous apporte, j’ai pu ajouter une qualité de vie à mon fils que je ne me permettais pas avant, mais on arrête pas ici, le chemin est long encore. On lâche pas!

Merci à toute l’équipe du programme  Besoins spéciaux.

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Pierrefonds (Québec)

Trucs et astuces pour stimuler
le langage de votre enfant

1. Rendez la communication agréable   

Donnez-lui le goût de communiquer. Voici quelques moyens simples basés sur des situations de la vie quotidienne :

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  • Habillement : On peut apprendre le nom des vêtements, l’ordre dans lequel on les met, leurs couleurs, leur grandeur, leurs textures, leurs propriétés.

  • Ménage : On peut apprendre le nom des objets qui servent au ménage ainsi que le nom des meubles et des accessoires de la maison, la place de chacun par rapport à l’autre (ex : la lampe est sur la table). On peut aussi apprendre l’utilité de chaque objet en donnant une petite définition simple.

  • Cuisine : Votre enfant peut participer à la préparation d’un repas. Il apprendra ainsi la séquence des évènements. L’enfant peut aussi apprendre à classer les aliments d’une même catégorie.

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  • Repas : Le repas familial peut être un moment de communication privilégié. Chacun peut y raconter sa journée, il est donc important d’écouter ce que l’enfant a à dire en l’incitant à élaborer sur le sujet. Lorsqu’il vous parle, soyez attentif et intéressé, écoutez-le jusqu’à ce qu’il ait terminé son message.

  • Téléphone : Permettre à l’enfant de répondre au téléphone favorisera le développement de son langage social de même que la compréhension d’un message verbal sans stimulus visuel, cela raffinera ses perceptions auditives.

  • Chansons : La mémorisation de chansons simples ou de comptines favorisent le développement de la mémoire auditive. Cette capacité est très importante pour ses futurs apprentissages scolaires.

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2. Soyez un bon modèle et ne parlez pas avec un langage bébé

Utilisez un langage d’adulte mais simple. Parlez en phrases complètes, clairement et avec enthousiasme.

Reformulez de façon plus complète les énoncés de l’enfant. Pour ce faire, on donne un modèle simple mais légèrement plus compliqué que ce que l’enfant dit habituellement (ex : un baçoire -> oui, il y a une grosse balançoire). En donnant le modèle, on peut accentuer ce qui était erroné dans son énoncé.

3. Mettez-vous à la hauteur de votre enfant

Autant que possible, mettez-vous à sa hauteur physique lorsque vous lui parlez. Votre enfant pourra ainsi mieux vous voir et vous conserverez son attention plus longtemps.

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4. Stimulez sans faire répéter

Lorsqu’un enfant présente des difficultés avec certains sons ou mots, il est important de ne pas le faire répéter dans le seul but de lui faire pratiquer sa prononciation.

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Essayez de comprendre ce que votre enfant veut exprimer, évitez de le reprendre à toutes les fois qu’il prononce mal un mot. Utilisez plutôt le mot de nouveau en le prononçant correctement. Insistez sur le son ou le mot mal dit.

5. Clarifiez les ambiguïtés au fur et à mesure

Si vous ne comprenez pas un message de votre enfant, ne faites pas semblant d’avoir saisi, car il le comprendra vite et finira par croire que le langage n’a pas de but de communication. De la même façon, il faut vous assurer que votre enfant vous comprenne vous aussi au fur et à mesure de votre échange.

6. Félicitez le moindre effort

Le langage n’est pas un outil facile à utiliser pour votre enfant. Il faut donc l’encourager et doser ses exigences.

7. Répondez à ses questions

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Répondez aux questions de votre enfant. C’est sa façon d’apprendre. Si vous êtes trop occupé, expliquez- lui, il comprendra.

8. Posez-lui des questions

Demandez à l’enfant de vous expliquer ses jeux, ce qu’il fait, ce qu’il fera après. … Incitez-le souvent à vous raconter ce qui l’intéresse. Posez-lui des questions exigeant une réponse autre que oui ou non.

9. Laissez l’enfant se débrouiller

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Laissez-le répondre aux questions qu’on lui pose; évitez de parler à sa place ou de finir ses phrases. N’allez pas toujours au devant de ses désirs ou besoins. Attendez que l’enfant demande ou tente de dire ce qu’il veut. Organisez des situations où il sera obligé de parler pour avoir ce qu’il veut.

Exemple :

  • donner un bol de céréales ou de crème glacée sans cuillère

  • mettre un soulier mais pas l’autre

10. Ayez du PLAISIR

N’oubliez pas, toutes les activités de la vie quotidienne sont un excellent prétexte pour stimuler le langage de votre enfant.

Images tirées du site internet Le grand monde du préscolaire et du programme Hanen. Document adapté par Zeina Constantin, orthophoniste. Idée originale du Service d’orthophonie de la C.S. des Navigateurs.


Grèves tournantes de 2018

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Meilleurs voeux du temps des Fêtes de la part de l’équipe des programmes Besoins spéciaux et Aller de l’avant!

Que la paix, la joie et la prospérité illuminent votre foyer tout le long de la nouvelle année!

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